mardi 1 décembre 2009

Omerta médiatique autour du Climategate : pourquoi, monsieur Maurice Strong, père des Accords de Kyoto?

















Les lecteurs habitués à lire cette chronique savent que j'ai, régulièrement, dénoncé le pseudo-consensus, quant aux causes anthropogéniques du réchauffement climatique. Évidemment, oser m'élever contre l'hystérie climatique, résister à l'endoctrinement exercé par les gourous verts et militer en faveur d'un réel débat scientifique m'a valu des torrents de courriels haineux, de la part d'éco-fascistes en croisade environnementale!


Pourtant, les raisons de douter du consensus étaient nombreuses. Des centaines de scientifiques, voire des milliers, contestaient, depuis longtemps, les propos alarmistes du GIEC, mais on refusait, systématiquement, de prendre en considération leurs recherches. D'autres posaient des questions pertinentes et légitimes pour lesquelles ils n'obtenaient aucune réponse. Les chercheurs qui contredisaient le prêt-à-penser environnemental étaient ostracisés. Certains d'entre eux, comme Timothy Ball, recevaient des menaces de mort, pour avoir profané le catéchisme climatique. Plus récemment, Richard Lindzen, climatologue au célèbre MIT et un ancien membre du GIEC, a publié une étude invalidant les théories réchauffistes, mais personne n'en fit cas! «Le débat est clos!», nous disait-on!


Il y a quelques jours, une véritable bombe climatique a secoué la communauté scientifique mondiale et elle pourrait, en effet, clore, définitivement, le débat. Des pirates informatiques ont pénétré les ordinateurs du Climate Research Unit (CRU) de l'Université d'East Anglia, au Royaume-Uni, un centre de recherche qui alimente le GIEC, et ils ont téléchargé plus de 1000 courriels et 72 documents signés par les scientifiques les plus influents en matière de climatologie. Or, le contenu des messages, que l'on peut, facilement, consulter sur Internet, est incendiaire. Il témoigne d'une opération de désinformation continue pour entretenir le credo du réchauffement climatique.

Entre autres, la
correspondance interceptée révèle que les membres les plus éminents du CRU sont coupables de rétention d'information et de destruction de données pour éviter d'avoir à les fournir, en vertu de la Loi britannique sur l’accès à l'information, et pour cause : ils tentaient, semble-t-il, de camoufler le fait que leurs données ne révèlent aucun réchauffement significatif, et ce, depuis 15 ans!

Ce n'est pas tout! Les échanges indiquent qu'il y a eu, également,
falsification et manipulation des données, pour que les résultats confirment la thèse du réchauffement. Quant aux voix discordantes, les bien-pensants du CRU se seraient organisés pour les faire taire, en recourant à des stratagèmes peu scrupuleux. Consensus? Non! Collusion et complot? C'est ce que révèlent les messages piratés!

Quand la science est
mafieuse, le scandale est colossal et les implications sont dramatiques. Nous aurions, donc, été manipulés par des escrocs plus intéressés par leurs subventions de recherche et par leur prestige que par l'intégrité scientifique. Des scientifiques intègres sont éclaboussés par les malversations intellectuelles de chercheurs véreux! Des gouvernements se sont laissés convaincre d'adopter des politiques coûteuses pour lutter contre un réchauffement monté de toutes pièces! Que dire, aussi, de la réglementation contraignante imposée, pour sauver la planète d'un danger fictif? Si des compagnies de tabac s'étaient rendues coupables des mêmes délits, si elles avaient comploté pour cacher la vérité, elles auraient été clouées au pilori. Qu'en sera-t-il, dans le cas du CRU?


Si les révélations sur l'arnaque climatique sont consternantes, le quasi-mutisme de l'élite médiatique, habituellement friande de scandales, l'est tout autant : c'est à peine si la nouvelle est mentionnée par les journalistes spécialisés en environnement et les manchettes sont consacrées à des nouvelles relativement insignifiantes en regard de l'éclatement de la bulle verte! Se pourrait-il qu'on tente d'étouffer l'affaire? L'information qu'on nous rapporte serait-elle choisie en fonction d'objectifs partisans? Et on se demande pourquoi les médias traversent une crise?!?!



Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.




Il n’y a pas à dire, je me croirais à Cuba, là où toute l’information est filtrée pour ne pas ébranler la pensée unique du régime! Personnellement, j’ai mon idée sur l’omerta médiatique qu’il y a sur le Climategate, au Québec.

Le père des
Accords de Kyoto s'appelle Maurice Strong (photo ci-haut). Qui est Maurice Strong? C'est un ancien employé de Power Corporation, dont il fut même le président jusqu’en 1966, qui a été mis dehors de l'ONU pour avoir participé à une fraude de 10 milliards $ US dans le cadre du programme «Pétrole contre nourriture», en Irak. Il est devenu un bureaucrate pour le compte du Parti libéral du Canada et il a été nommé directeur de Petro-Canada, lorsque Pierre Elliott Trudeau, un autre ancien employé de Power Corporation, a créé la société d’État, en 1976.


Lisez ça!


Le père des Accords de Kyoto tire, également, les ficelles pour les environnementeurs, depuis plus de 40 ans. Il a été un conseiller du président de la Banque mondiale, en plus d’être co-auteur d’un livre avec l’ancien Secrétaire général de l’URSS, Mikhaïl Gorbatchev, sur l’établissement d’un Nouvel Ordre mondial.


Pour en savoir plus sur ce socialiste anti-humain et gourou de l’environnementerie qui est membre du Groupe Bilderberg et qui milite pour l’établissement d’un gouvernement mondial qu’est Maurice Strong, vous pouvez lire ceci.


Le but des environnementeurs est celui de Strong. C’est celui de détruire l’économie mondiale pour mieux détruire l’Humanité et, ainsi, déterminer qui vit et qui meurt. Là, lui et sa clique nous préparent avec la grippe A (H1N1) et le soi-disant vaccin tout à fait «sécuritaire», mais leur vrai plan vient avec une décroissance économique pour «protéger notre environnement». Strong et ses adeptes ont réussi à se monter une gang de disciples crédules et bien intentionnés qui ont cru à leurs mensonges pour prévenir une crise environnementale qui n’existe pas et qui n’a jamais existé, pour permettre à son ancien employeur, Paul Desmarais, de mettre en place son Nouvel Ordre mondial, afin de contrôler le monde, ainsi que nos vies.


Pour ceux et celles qui disent que «ça ne se peut paaaaas» et que je «fabule dans mes conspirations», laissez-moi vous rappeler un truc : des scientifiques se sont organisés pour cacher le déclin des températures, donc il y a, ici, une conspiration! Que vous ne voulez pas l’admettre, c’est votre problème, mais il s’agit, ici, du Climate Research Unit de l’Université d’East Anglia, qui est, quand même, le Centre d’études climatologiques de référence du GIEC et, en plus, il s’agit d’une organisation qui reçoit des milliards de $ en fonds de recherche et ils ont, clairement, un agenda, soit celui de faire croire, au monde, à un réchauffement climatique qui n’existe pas!


De plus, vous savez, sûrement, que ces environnementeurs-là, dont Al Gore, veulent taxer la planète pour «contrôler» les émissions de CO2, un gaz qui est, tout à fait, inoffensif et qui est essentiel à la photosynthèse et au cycle même de la vie sur Terre. Donc, encore une fois, il y a une conspiration et, cette fois ci, c’est dans le but de nous vider les poches! Donc, si cette gang de chiens-là réussissent à faire adopter leur projet de taxe mondiale sur le carbone, à la Conférence de Copenhague qui aura, bientôt, lieu, ils retireront, ainsi, beaucoup de cash et, si ils réussissent à taxer la planète au grand complet, devinez ce qui arrivera, alors : ils auront, ainsi, un pouvoir politique mondial!!! Il s’agit, donc, du début d’un contrôle mondial. Ensuite, il devient, ainsi, possible d’avoir un gouvernement mondial et de continuer ce power trip, et ce, toujours avec des mensonges, une conspiration et une mauvaise intention!!! C’est tout!

Je sais de quoi je parle! Je suis désolé!

La journaliste
Ann-Marie MacDonald décrit Maurice Strong comme étant un croisement entre Raspoutine et Machiavel. Maurice Strong a été nommé directement par la Reine du Royaume-Uni, Élizabeth II, sur le Conseil privé de la Reine, avec Brian Mulroney, un autre ancien employé de Power Corporation, Paul Desmarais lui-même et CONRAD BLACK, qui est en prison (l'ancien éditeur du Jérusalem Post).

Paul Desmarais possède, par l'intermédiaire de
GESCA, 70% des journaux du Québec. Power Corporation est propriétaire de La Presse, du Soleil, de La Tribune, du Droit, du Quotidien, du Nouvelliste, de La Voix de l’Est et il a, aussi, une participation dans le journal Metro. De plus, en 2001, GESCA et Radio-Canada ont signé une entente secrète de convergence pour partager les ondes. Lisez l'enquête de Patrick Bourgeois sur cette affaire! Lisez le livre de Robin Philpot qui s'intitule «Derrière l'État Desmarais : POWER»!


De plus, Brian Mulroney siège sur le Conseil d'administration de Quebecor et son chef de cabinet du temps où il était le premier ministre du Canada, Luc Lavoie, est analyste politique à TVA, en plus d'avoir longtemps été le bras droit de Pierre-Karl Péladeau.

Donc, il ne faut pas chercher plus loin pour comprendre le silence quasi-
criminel et complice de nos médias sur le Climategate, tout comme il ne faut pas chercher plus loin la raison que les informations (ou, plutôt, les opinions des journalistes) qui tombent au compte-gouttes sur ce sujet au Québec soient toutes biaisées en faveur des scientifiques du CRU.


C'est nous-autres, les blogueurs, qui devons informer les Québécois sur cette affaire. Power Corporation est le bras droit de Satan sur Terre. Paul Desmarais contrôle nos médias d’une main de fer pour nous refiler le Nouvel Ordre mondial avec ses chums du Groupe Carlyle, ce groupe terroriste occidental. Paul Desmarais siège sur le Comité consultatif du Groupe Carlyle. Il a fait entrer Olivier Sarkozy, le demi-frère de Nicolas Sarkozy, dans le Groupe Carlyle qu'il dirige, aujourd'hui.

Le 11 septembre 2001, tout l'état-major du Groupe Carlyle (George Bush père, James Baker, Frank Carlucci, feu Richard Darman, Arthur Levitt, John Major, Karl Otto Pöhl, Fidel Ramos, Paul Desmarais, etc.) était réuni dans un hôtel de Washington avec Shafiq Ben Laden, le demi-frère de Oussama Ben Laden, pour regarder ce qui allait se produire. La famille Ben Laden avait même des liens économiques avec le Groupe Carlyle : 590 millions $ ont été investis dans Citigroup par les Saoudiens, par l’entremise du Groupe Carlyle!

On ne veut juste pas s’avouer tout ça. On a peur.

Je suis, au moins, heureux de constater que l’omerta médiatique a été brisée par, au moins, une personne, soit Nathalie Elgrably, mais ça ne change rien à la
pourriture que représente notre système médiatique, sans parler de notre bon gouvernement, dont la ministre de l’Environnement, Line Beauchamp, finance le théologue sans diplôme, Steven Guilbeault, le soi-disant expert en environnement, pour nous brainwasher sur un réchauffement climatique qui n’existe pas.



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Enfin, voici la chanson de l’heure :




Hide The Decline


Makin’ up data the old hard way
Fudgin the numbers, day by day
Ignoring the snow and the cold and a downward line

Hide the decline (hide the decline)

Michael Mann thinks he so smart
Totally inventing the
hockey stick chart
Ignoring the snow and the cold and a downward line

Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)


Climategate
I think you have sealed your fate
I hope you do a lot of time
Cuz what you did was such a crime

Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)


The tree ring data was very thin
Chopped more trees instead of hugging them
Ignoring the snow and the cold and a downward line

Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)


Climategate
I think you have sealed your fate
I hope you do a lot of time
Cuz what you did was such a crime

Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)
Hide the decline (hide the decline)

1 commentaire:

  1. Bravo pour ce très long billet que je n'ai pas lu en entier. Trop, c'est comme pas assez. Mais vous avez le mérite d'essayer.

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