jeudi 31 décembre 2009

Bonne année 2010 et bienvenu(e)s dans les années 2010!






À lire absolument











Cliquez sur l'image pour mieux lire ce qui y est écrit! Oui, je trouvais l'image assez comique, en cette fin d'année! Hé! Hé! Hé! Quant à moi, j’ai déjà parlé de l’année qui se termine en sondage, alors je n’y reviendrai pas, tout comme la décennie qui se termine est revue ici sous la forme du sondage à lequel vous pouvez tous et toutes répondre en jetant un coup d'oeil à la colonne de droite de ce blogue.

Alors, je vous souhaite à tous ceux et à toutes celles qui me lisent et qui me laissent des commentaires une merveilleuse année 2010. Ce blogue vous reviendra, en grande pompe, le 4 janvier 2010 avec une
critique de ma soirée-télé du 31 décembre 2009. En passant, pas de dangers que le Bye-Bye crée une controverse nationale cette année, puisqu'il n'y en aura pas! Hé! Hé! Hé!

D’ici là, écoutez des
rigodons, mangez comme des osties de porcs et buvez! Buvez tant qu’il en restera et, encore une fois, bonne année 2010!

Paix, bonheur, amour, santé et
prospérité en illimité et que tous vos souhaits se réalisent! Bon réveillon devant la télévision et, surtout, bienvenu dans les années 2010, chers (chères) ami(e)s virtuel(le)s!

Voici des chansons de
circonstance : La Cuisinière, Le Temps d’une dinde, Le Démon sort de l’enfer, La Poule à Colin et Le bon vin m’endort!

Si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à m’en faire part dans les commentaires!

Allez, à plus, amigos!

mercredi 30 décembre 2009

Victoria : les jeunes années d'une génocidaire qui repose, aujourd'hui, en enfer!









Ce billet est, en bonne partie, un plagiat de ce trop rare excellent billet de Gabriel Proulx (aucun lien de parenté), alias Québec socialiste. Certains mots et certaines phrases ont été modifiés et/ou rajoutés pour que le texte soit à 100% conforme avec mes idées.



Ça y est, mon pire
cauchemar culturel s’est réalisé : un film faisant l’éloge de la Reine Victoria va être distribué au Québec, et ce, de mon vivant! Attendez, il y a pire : c’est un monarchiste fini du Québec qui a réalisé ce navet en devenir! Il s’agit de Jean-Marc Vallée, plus connu pour son film «C.R.A.Z.Y.»! Il faut, en effet, être, soit fou, soit, volontairement, malhonnête pour tenter de vendre cette…«chose» au peuple québécois, sans même aborder le fait que cette vieille monarque a été, de son temps, un véritable bourreau pour notre peuple, ainsi que pour tous les peuples qui ont eu le malheur d’être occupés et d’être colonisés par l’Empire britannique, une puissance impérialiste.

En
entrevue, Vallée ne se gêne pas pour nous étendre sa vision loufoque de la monarque : «Victoria avait une attitude rock, les Britanniques ont ça dans l’âme. À l’époque, elle se disait elle-même moderne, en reniant Wolfgang Amadeus Mozart, Ludwig van Beethoven, Franz Schubert et les autres.»! Il renchérit sur ses goûts musicaux : «Elle riait de ceux qui n’aimaient pas cela, elle était baveuse, pour une petite fille de 18 ans.»! C’est fou, car, même du côté culturel, je n’ai que du mépris pour cette intolérante baveuse de bas étages! Pour le reste, dire que la Reine Victoria était une «rebelle» équivaut à insulter la mémoire de tous ceux qui se sont, bravement, opposés à son règne, à travers l’Empire. D'ailleurs, quel était, donc, le sort réservé à tous ceux qui se rebellaient contre la «Reine rebelle», comme Vallée l’appelle si amicalement, hein? Ils se retrouvaient au bout d’une corde, les pieds dans le vent! Il n’y a rien de «rebelle» ou de «romantique» là-dedans, «mister Vallée»!


Pour parler, maintenant, du film en lui-même,
qui se passe, précisément, à l’époque de la Révolte légitime de nos braves Patriotes, n’attendez surtout pas de condamnation pour les actes hautement barbares et répréhensibles de l’Empire! Jean-Marc Vallée, en bon petit monarchiste comme il est, en est, absolument, incapable. Si je fais confiance aux critiques et à la bande-annonce, «Victoria : les jeunes années d’une Reine» se concentre sur deux aspects de ses premières années de règne, qui vit, pourtant, la production du tristement célèbre Rapport Durham, dont l’esprit nous condamnait à l’esclavage et dont l’application complète aurait rendue impossible la production de son fameux «C.R.A.Z.Y.», puisque la culture québécoise aurait dû cesser d’exister.


Premièrement, il y a l’idée, selon laquelle, sa
désignation comme monarque de l’Empire par son oncle, Guillaume IV, la faisait se sentir «prisonnière» et «malheureuse»! Dans cette première moitié du film, toujours selon les critiques, on se concentre sur sa relation difficile avec sa mère, la Duchesse de Kent, qui aurait aimé se retrouver sur le trône à la place de sa fille. Le deuxième aspect, qui se matérialise dans la deuxième moitié du film, est la romance entre Victoria et son cousin, le Prince Albert, qui était le frère du monarque Léopold 1er de Belgique. Non content de nous présenter, sans la moindre honte, bien sûr, un film faisant l’éloge de notre bourreau historique, qui fait partie du «Top 20» des pires génocidaires de toute l’Histoire de l’Humanité, et de la présenter comme étant une pauvre petite martyre, lors de la tentative d’assassinat à son endroit, en 1840, qui est, toujours selon la critique, non-conforme à l’Histoire, Vallée vient, aussi, glorifier l’inceste, à grands coups de romance cul-cul!


Pour ce qui est des faits historiques découlant de cette «romance»,
il faut savoir que Victoria a poussé sa relation incestueuse jusqu’à pondre neuf enfants à son cousin, des enfants qui auront, d’ailleurs, divers problèmes de santé, dont trois qui sont nés avec le gêne de l’hémophilie. Un autre fait important sur la Reine Victoria, dont il ne sera pas fait mention dans ce film, est que, lors de la Guerre de Sécession des États-Unis, elle a pris position en faveur des Sudistes et de l’esclavage! Une «Reine rebelle», ce monstre? C’est ça, oui!

Certains
aveugles défendront, futilement, Jean-Marc Vallée, en prétendant que «The Young Victoria», qui est le titre anglais original, n’est qu’une autre production hollywoodienne sans âme et sans valeur historique. C’est un fait! Par contre, pourquoi cela rendrait Jean-Marc Vallée moins complice de cette horreur, hein? Il a dit lui-même, dans son entrevue au journal Voir, qu’il a jouit des «moyens d’être créatif». La critique du journal Voir, en passant, a été beaucoup plus enthousiaste que les autres, celle de La Presse jugeant la deuxième moitié «romantique» bien tiède! De plus, sur ceux qui souhaitent la disparition de ce vulgaire anachronisme qu’est la monarchie, Vallée y va de ces mots : «Je trouve qu’ils (NDLR : la famille royale parasitaire) font du bien. Ils font rêver, bien sûr, mais, surtout, ils mettent leur vie au service de plusieurs causes (NDLR : oh oui, parlons-en de leurs calices de causes, oui!). Ils ont beau nager dans le fric (NDLR : des fonds publics) et vivre dans des châteaux, je ne voudrais pas être à leur place. […] Évidemment, l’aile gauche (NDLR : tiens, c’est nouveau, ça, il faut être de gauche pour être anti-monarchiste, maintenant? Non, mais, quel discours réducteur!), qui est anti-monarchiste et qui veut se débarrasser de cette institution-là (NDLR : anti-démocratique), n’a rien voulu savoir du film. Comme il présente un beau portrait de la Reine Victoria (NDLR : génocidaire) et de sa romance avec Albert, la gauche l’a forcément mal pris.»!

Pas juste la gauche, Jean-Marc, pas juste la gauche! À part du Québec, là où ton film sera
détesté par, au moins, un gros 70% de la population, soit ceux qui veulent «se débarrasser de cette institution-là», comme tu dis, et que l’on retrouve autant à gauche qu’à droite de l’échiquier politique, soit dit en passant, va donc vanter la Reine en Inde, devant des gens qui connaissent vraiment l’Histoire de leur pays! La fameuse époque victorienne de prospérité pour le Royaume-Uni a été le fruit du pillage des ressources naturelles de l’Inde et des autres colonies. En Tasmanie, la population aborigène a été, carrément, exterminée. En Australie, aussi, c’était loin d’être rose pour les premiers occupants! Décidemment, Vallée, qui semble, pratiquement, vénérer la Reine et la famille royale, devrait s’informer un peu mieux sur l’Histoire et sur le monde qui l’entoure, au lieu de se laisser, tout simplement, charmer par des histoires déconnectées de cours royales et de monarques qui vivaient dans le luxe, tout ça pendant que le peuple, lui, crevait de faim.


Pourquoi pas un film plein d’éloges sur
Joseph Staline ou sur Benito Mussolini, tant qu’à y être, hein? «Mussolini : les années rebelles du père du fascisme»! Ça sonne, plutôt, bien, non? Silvio Berlusconi, de même que l’Antéchrist Benoîte XVIe siècle, seraient tellement heureux de voir leur idole se battre et participer à des duels au grand écran qu’ils en oublieraient, peut-être, dans le cas du premier, qu’il s’est fait casser la gueule, et, dans le cas du deuxième, qu’il s’est fait jeter à terre.


Au final, je dirais que Jean-Marc Vallée a beau avoir réalisé C.R.A.Z.Y., ça n’enlève rien au fait que «The Young Victoria» est une insulte, non seulement envers le peuple québécois, dont il est issu, mais, aussi, une insulte envers tous les peuples qui ont subi l’
oppression des puissances coloniales et impérialistes.

Voici, maintenant, mon
opinion sur ce film, moi, un anti-monarchiste, un indépendantiste et un opposant de l’impérialisme, mais, aussi, un non-gauchiste et un libertarien : Alexandrina Victoria of Hanover ne mérite, en aucun cas, un film faisant son éloge! En fait, il aurait été bénéfique pour l’Humanité toute entière qu’elle ne voit jamais le jour. Rien qu’à voir la façon dont il est annoncé, je donne, à ce film, la cote de ZÉRO étoiles et j’appelle, aussi, tous les Québécois et toutes les Québécoises à boycotter ce film royaliste de mauvais goût! Aidons à faire de ce film ce qu’il est réellement, c’est-à-dire un navet, et donnons, ainsi, une bonne leçon à Jean-Marc Vallée pour nous avoir tous insulté!


Le pire dans tout ça, c’est que ce film
provocateur soit subventionné à même nos taxes et nos impôts, subventions aux zartisss oblige!

lundi 28 décembre 2009

Les prophètes de malheur








En 1798, Thomas Malthus a annoncé que la Terre n'avait pas assez de ressources naturelles pour supporter une population supérieure à 1 milliard d'individus. Aujourd'hui, au moment où j’écris ces lignes, la Terre supporte une population de 6 792 998 920 êtres humains.

En 1865, le
charbon était le principal moteur de l’activité industrielle. À cette époque, des gens, comme l’intellectuel anglais William Stanley Jevons, disaient qu’il fallait freiner l’activité économique, parce que la ressource était sur le point d’être épuisée. Les années ont passé et 144 ans plus tard, il y a toujours du charbon sur notre planète. L’ingéniosité humaine a permis une extraction toujours plus efficace, une utilisation toujours plus productive, mais, surtout, d’autres formes d’énergie ont remplacé ce combustible fossile.

La plus grande
ressource naturelle qui est disponible sur Terre, c’est la créativité humaine et elle est inépuisable! Voilà pourquoi, malgré 40 ans de «surexploitation des ressources naturelles», nous n’avons jamais manqué de rien et voilà pourquoi le concept d’empreinte écologique est risible, voire même fasciste, car ses partisans ne croient pas au génie de l’Homme. Voilà, également, pourquoi que, depuis plus de 30 ans, les écologistes qui ont annoncé la pénurie des ressources naturelles ont tous perdu la face, et ce, sans exception!

Par exemple, en 1972,
le Club de Rome a prédit qu'à partir de 1992, la Terre allait connaître des pénuries de ressources naturelles. Aujourd’hui, nous sommes en 2009 et nous attendons toujours ces pénuries.



Aujourd’hui, nous sommes en 2009, le
réchauffement climatique s’est arrêté depuis 10 ans, nous entrons dans une période de refroidissement climatique et plusieurs idiots utiles croient encore au péril du réchauffement climatique anthropogénique et qu’il faut, à tout prix, contrôler le climat à coup de taxes mondiales sur le carbone pour sauver la planète du désastre! Le pire, c’est que, aujourd’hui, ces idiots utiles ne veulent même plus voir la vérité en face!

Décidemment, on peut dire ce qu'on veut de
Thomas Malthus, de William Stanley Jevons et du Club de Rome, mais, au moins, eux, ils n'étaient pas subventionnés avec l’argent de nos taxes et de nos impôts pour nous vomir leurs niaiseries. Mais, quand est-ce que l’Humanité s’ouvrira les yeux? Combien de temps, d’énergie et d’argent devront nous encore gaspiller, avant que le monde puisse voir réellement toute l’escroquerie qui entoure le dogme du réchauffement climatique anthropogénique?








La civilisation disparaîtra d’ici 15 ans ou 30 ans, à moins que des actions immédiates soient prises pour contrer les problèmes dont doit faire face l’Humanité.





En 1995, entre 75% et 85%, environ, de toutes les espèces animales seront éteintes.

- Le sénateur Gaylord Nelson, citant le docteur Sidney Dillon Ripley dans Look Magazine, en avril 1970




À cause de l’augmentation de la poussière, du couvercle des nuages et de la vapeur d’eau, la planète se refroidira, la vapeur d’eau chutera et gèlera et un nouvel Âge glaciaire naîtra.

- Newsweek Magazine, 26 janvier 1970




Il fera 11 degrés plus froid qu’aujourd’hui, à l’an 2000. C’est, à peu près, le double du froid nécessaire pour nous projeter dans un Âge glaciaire.


- Kenneth Watt, faisant un discours à l’Université Swarthmore, le 19 avril 1970




Vers les années 2000, le monde entier va subir une famine généralisée, à l’exception de l’Europe de l’Ouest, de l’Amérique du Nord et de l’Australie.


- Peter Gunter, North Texas State University, The Living Wilderness, printemps 1970



Nous sommes dans une crise environnementale qui menace la survie de cette nation et celle du monde comme étant une planète convenable pour soutenir la vie de l’Humanité.






L’Homme doit arrêter la pollution et conserver ses ressources, pas seulement pour améliorer son existence, mais pour sauver la race humaine des détériorations intolérables et d’une extinction possible.

- Un éditorial du New York Times, le 20 avril 1970




Vers 1985, la pollution atmosphérique va réduire de moitié le montant de la lumière solaire qui atteindra la Terre.


- Life Magazine, janvier 1970




Il est déjà trop tard pour stopper une famine mondiale.

- L’organisateur du Jour de la Terre, Denis Hayes, The Living Wilderness, printemps 1970





Compléments de lecture : ceci et ceci!

Les résultats du sondage de l'année 2009 et voici le sondage des années 2000!

En 2009, quelle est l'affaire ou le scandale ou la nouvelle qui vous a le plus marqué, fâché, irrité, étonné, inquiété ou whatever (l'événement de l'année, quoi)?


L'Affaire Françoise David-Sylvain Bouchard
4 (23%)

L'Affaire Steven Guilbeault-Jacques Brassard
4 (23%)

Le Climategate et l'omerta médiatique sur le sujet
10 (58%)


L'Affaire Sylvie Roy et l'inquisition libérale à la sicilienne qui en a suivi
2 (11%)

L'étude de Joëlle Quérin sur le vrai visage du cours d'ECR
5 (29%)

L'anglicisation encore plus galopante de Montréal et de ses banlieues
2 (11%)

Le placement de produits de Taureau rouge du maire Régis Labeaume en pleine séance
du Conseil de Ville
0 (0%)

Le scandale de la FTQ-Construction
3 (17%)

Le système occulte et mafieux de financement des partis politiques
3 (17%)

L'Affaire David Whissell
2 (11%)

L'Affaire Jean D'Amour
1 (5%)

La relation amoureuse entre Nathalie Normandeau et François Bonnardel
1 (5%)

Le scandale du Ministère des Transports du Québec et le tripotage des appels d'offre
2 (11%)

La collusion dans l'industrie de la construction
5 (29%)

Le séjour de David Whissell, Julie Boulet et Norman MacMillan sur le bateau de Tony Accurso
2 (11%)

Tony Accurso pour l'ensemble de son oeuvre
2 (11%)

L'incompétence crasse de Julie Boulet
4 (23%)

Le scandale des fausses statistiques sur la violence conjugale
3 (17%)

La collusion à Boisbriand
2 (11%)

Le scandale des compteurs d'eau à Montréal
1 (5%)

Le scandale de la SHDM
1 (5%)

La corruption éhontée de l'Administration de Gérald Tremblay
2 (11%)

Les chèques avec le logo du Parti conservateur du Canada
1 (5%)

L'Affaire Léo Housakos
0 (0%)

Le refus de Jean Charest de faire appel à une Commission d'enquête publique
et indépendante sur la corruption dans la construction
2 (11%)

Les pertes de la Caisse de dépôts et placement du Québec
3 (17%)

La nomination de Michael Sabia à la tête de la CDPQ
1 (5%)

Le scandale des FIER
1 (5%)

Le favoritisme libéral dans l'attribution des places en garderie
1 (5%)

La Réforme scolaire pour l'ensemble de son oeuvre
2 (11%)

Le cafouillage dans les tests de dépistage du cancer du sein
0 (0%)

L'Affaire Benoît Labonté
1 (5%)

La Grand-Messe environnementeuse de Copenhague
5 (29%)

Les élections municipales
1 (5%)

L'ADQ pour l'ensemble de son oeuvre
2 (11%)

Le refus du Bloc d'appuyer un projet de loi contre l'exploitation sexuelle des enfants
0 (0%)

Le vote anti-séparatiste primaire du West Island qui a assuré la victoire à Gérald Tremblay
1 (5%)

Le fait que le fédéral possède 40% du territoire de la ville de Québec dans la plus totale indifférence
0 (0%)

La déclaration de guerre d'Ottawa sur nos Plaines d'Abraham
0 (0%)

Le Moulin à Paroles et toute la propagande monarcho-fédéraste entourant cet événement
2 (11%)

Le scandale de Radio-Canada
0 (0%)

Le salaire secret de Jean Charest et l'affaire de ses résidences
0 (0%)

Les alliances mondiales de Power Corporation
0 (0%)

Les liens des frères Kostitsyn avec un membre du crime organisé
0 (0%)

Le centenaire pourri du Canadien de Montréal
1 (5%)

La partialité toujours plus évidente de Richard Hétu
4 (23%)

Les élections iraniennes
0 (0%)

La fusillade au Musée de l'Holocauste
0 (0%)

La guerre d'Israël contre le Hamas
1 (5%)

Le procès de Francis Proulx
0 (0%)

Les allégations de torture des prisonniers afghans
0 (0%)

L'affaire des minarets en Suisse
0 (0%)

La prestation musicale de Stephen Harper
0 (0%)

La grippe A (H1N1) et la campagne de vaccination qui en a suivi
4 (23%)

Les bailouts et le déficit, grâce aux politiques keynésiennes pour sortir de la crise économique
4 (23%)

La mort de Michael Jackson
1 (5%)

La mort de Pierre Falardeau
0 (0%)

Le fiasco du Bye-Bye 2008
0 (0%)

L'arrestation de Roman Polanski
0 (0%)

Le Prix Nobel de Barack Obama
4 (23%)

La réforme de la santé aux États-Unis
3 (17%)

Les manifestations des Tea Parties aux États-Unis
2 (11%)

Le procès de Cathie Gauthier
0 (0%)

Les scandales qui ont entouré le pape Benoît XVI cette année (l'Affaire Williamson,
le viol de la p'tite Brésilienne, le condom en Afrique, les prêtres pédophiles en Irlande, etc.)
0 (0%)

La prestation musicale de Susan Boyles
0 (0%)

L'Affaire Jean-Marie De Koninck et son 0,05
2 (11%)

Autre
0 (0%)

Je ne sais pas
0 (0%)



Nombre de votes jusqu'à présent : 17
Sondage terminé




Victoire sans équivoque du Climategate!

Merci à tous ceux qui ont voté à ce petit sondage-maison!

Bon, l’événement de la décennie, maintenant! Hé oui, la fin de 2009 marquera, également, la fin des années 2000! Qu’a-t-on appris de cette décennie? Pas grand-chose, d’après moi, puisque personne ne connaît son Histoire comme du monde! Quand on ne connaît pas l’Histoire, on est
condamné à répéter les erreurs du passé.

Le
terrorisme, les pétards mouillés et la chute de plus en plus vertigineuse de la crédibilité de nos politiciens, voilà, moi, ce que je retiens de la décennie qui s’achève! L’avènement du Web 2.0 est, selon moi, l’une des rares avancées qui a marqué cette décennie. Pour le reste, on ne se le cachera pas, ce fut une décennie de tout ce qu’il y a de plus merdique.

Que nous réservent les années 2010? Je ne sais pas, mais, une chose est sûre, c'est que nous ne mourrerons pas le 21 décembre 2012!

Enfin, le sondage sur les années 2000 est là et, encore une fois, vous pouvez faire plus d’un choix!


Ah, et, le fils de Vito Rizzuto a été assassiné, aujourd'hui!

dimanche 27 décembre 2009

Notre plus beau cadeau de Noël : l'échec de la Conférence de Copenhague!












Ne boudons pas notre plaisir! Le plus beau témoignage du splendide fiasco du maquignonnage de Copenhague, c'est une photo du conclave des chefs d'État occidentaux. C'est à faire brailler...de rire! On y voit Barack Obama, le Messie à la triste figure, Nicolas Sarkozy, renfrogné et enragé, Angela Merkel, résignée, et le président de la Commission européenne, Josée Manuel Barroso, complètement ahuri, et, tout autour, des apparatchiks et le ministre français Jean-Louis Borloo, maître en prêchi-prêcha écolo, qui sont tous au bord du désespoir. Quel réjouissant spectacle! Il faut dire qu'ils viennent d'accoucher d'une entente d'une incommensurable insignifiance : pas de cibles contraignantes et pas de superstructure technocratique de gouvernance mondiale! Vraiment, une grand-messe qui s'est terminée en tohu-bohu et en foire d'empoigne de marchands de tapis! Merveilleux!


C'est pour vous dire la consternation chez les verdoyants! Pour Greenpeace-France, l'accord a «la substance d'une brochure touristique». Hilarant! Chez-nous, le sous-pontife Steven Guilbeault fulmine et les politiciens (des ministres, comme Line Beauchamp, qui pérorait à Copenhague, ou un premier ministre, comme Jean Charest, qui faisait le matamore devant le fédéral, des députés, comme celui du Bloc, Bernard Bigras, ce jeune curé écolo fanatique excommuniant les «criminels sceptiques») ont la mine tellement basse et tellement défaite qu'ils risquent une déprime carabinée.

En fait, le seul chiffre qui apparaît dans «l'entente», c'est celui de 2 degrés Celsius. Les chefs d'État ont décrété qu'il s'agit là de l'augmentation de la température globale de la Terre qu'il ne faut pas dépasser. Entre vous et moi, il faut vraiment être une ridicule phalange de prétentieux infatués pour s'imaginer pouvoir contrôler le thermostat de la planète et les médias en remettent : le Journal de Québec, alimenté par l'Agence France Presse, nous avertit que «selon des études récentes, sans réduction des émissions de CO2, le réchauffement pourrait atteindre 6 degrés Celsius et le niveau des mers s'élever de près d'un mètre.»! Quelles études, me direz-vous? Mystère! La rédaction du Journal de Québec est-elle au courant que le réchauffement climatique s'est arrêté, depuis 10 ans? Sait-elle que ces prédictions réchauffistes de 6 degrés Celsius sont concoctées par des modèles informatiques qui ne sont guère plus fiables que la météo de la semaine prochaine où l'astrologie des biscuits chinois?


La même agence (AFP) signalait que la confrontation Chine-États-Unis opposait «les deux premiers pollueurs de la planète». Il s'agit là d'une fausseté et ce n'est pas parce qu'elle est radotée ad nauseam qu'elle va se métamorphoser en vérité. Ce ne sont pas les deux premiers pollueurs de la planète, ce sont les deux premiers émetteurs de gaz carbonique. Ce n'est pas du tout la même chose! Les réchauffistes confondent, constamment, et, sans doute, délibérément, la pollution et l’émission de CO2. Les États-Unis émettent, il est vrai, le quart des rejets humains en CO2 de la Terre, mais c'est un pays qui a, depuis 30 ans, comme partout dans les démocraties occidentales, réduit de façon considérable les diverses pollutions de l'air et pollutions des eaux. Ceux qui en doutent n'ont qu'à lire «L’Écologiste sceptique» de Bjørn Lomborg pour s'en convaincre.

Je me permets de le répéter, le CO2, dioxyde de carbone, n'est pas un polluant. C'est un gaz inoffensif, non-toxique et indispensable à la vie! Inscrire, dans une loi ou dans un règlement, que le CO2 est un polluant, c'est une aberration scientifique. Le regretté Marcel Leroux, authentique climatologue, avait coutume de dire, pour illustrer l'absence de nocivité du CO2, que, dans une salle de spectacle logeant 1000 spectateurs, le taux de CO2, à cause de la respiration des personnes présentes dans la salle, pouvait passer de 380 PPM à 1500 PPM et que ce triplement du taux ne causait aucun malaise à quiconque.

Quant à la Chine, son défi majeur, ce n'est pas de réduire ses émissions de CO2, c'est de s'attaquer aux diverses pollutions générées par une industrialisation échevelée qui s'est faite sans réel souci de l'environnement. Par ailleurs, quels habiles manoeuvriers que ces Chinois! Ils ont su allécher tout le monde en promettant une baisse de 40% de leurs émissions de CO2, mais l'engagement s'est envolé en fumée, quand ils ont refusé (ce qui était prévisible) toute forme de contrôle international qui serait une atteinte intolérable à leur souveraineté nationale. Barack Obama, le Rédempteur, et Nicolas Sarkozy, le sermonneur, se sont faits rouler dans la farine (ou, plutôt, dans la neige, étant donné le temps qu'il faisait au Danemark). Bref, du grand vaudeville!


Que faut-il, désormais, espérer après cette réconfortante déconfiture!


D'abord, il faut, de toute nécessité, que notre classe politique, ici, au Canada, et partout ailleurs en Occident, entreprenne une cure pour se débarrasser de l'hystérie carbonique qui la détraque, depuis trop d'années. Cette hystérie est accompagnée d'une vilaine tendance schizoïde, ce qui fait en sorte que nos politiciens vivent dans une bulle infestée de cauchemars et d'élucubrations climatiques. Il convient, donc, de les rebrancher sur le réel.

Ensuite, la science du climat (une jeune science, au fond) doit se guérir de l'infection idéologique qui la ronge de l'intérieur. Cet avilissement s'est produit en peu de temps. Dans les années 1980 et 1990, nous avons vu s'élaborer la théorie du réchauffement d'origine anthropique (c'est James Hansen qui a déclenché le mouvement) et, très rapidement, elle s'est ossifiée en dogme indubitable. Quand une science est «en bonne santé», les théories naissent, se développent, se modifient, s'enrichissent et, souvent, se révèlent infondées et disparaissent! Ce ne fut pas le cas en climatologie!


Elle s'est, largement, dégradée en idéologie avec, d'une part, des orthodoxes despotiques et vénérés et, d'autre part, des hérétiques méprisés et marginalisés et, tout autour de cette idéologie réchauffiste, se sont agglutinés tous ceux (les écolos de toutes obédiences, les socialistes, les gauchistes de toutes catégories, les communistes, les alter-mondialistes, les tyrannies de toute la planète, les idiots utiles de tous acabits, etc.) qui rêvent de détruire l'économie de marché, le mode de production industrialo-capitaliste et la société de consommation qui en découle! Autrefois, cet anéantissement de la libre entreprise était souhaité pour libérer le prolétariat et, là où c'est advenu, ce fut l'instauration du despotisme totalitaire et liberticide à la sauce marxiste et une société de pénurie en prime. Aujourd'hui, le même projet de destruction du mode de production industrielle est mis de l'avant pour sauver la planète et libérer Mère Nature d'une Humanité qui dérègle le climat sans trop de repentance et, comme dans le cas des révolutions marxistes, il en résulterait des contraintes de toutes natures, la surtaxation, les intrusions dans la vie privée, l’autoritarisme et la baisse du niveau de vie.

Dans une lettre ouverte (vous n’avez pas dû la lire dans votre journal) adressée au Secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-moon, 141 éminents scientifiques venant de tous les horizons (et qualifiés dans des disciplines liées au climat) affirment «qu'il n'y a aucune raison valable d'imposer des décisions de politique publique coûteuse et restrictive sur les peuples de la Terre, sans d'abord fournir des preuves convaincantes que les activités humaines causent de dangereux changements climatiques, au-delà de ceux résultant de causes naturelles. Avant que toute action précipitée ne soit prise, nous devons disposer de solides données d'observations démontrant que les changements climatiques récents diffèrent, substantiellement, de changements observés dans le passé et qu’ils sont bien au-delà des variations normales causées par les cycles solaires, les courants océaniques, les changements de paramètres orbitaux de la Terre et des autres phénomènes naturels.».

En fait, ce que réclament ces scientifiques de renommée, c'est, au fond, que la climatologie redevienne une véritable science. Le Climategate, cette scandaleuse escroquerie faite de manipulations des données climatiques visant à effacer l'Optimum médiéval, une période beaucoup plus chaude que maintenant, et à «masquer le déclin» des températures des dix dernières années, a démontré le terrible dérapage idéologique de la science du climat. Signalons qu'il y a 20 Canadiens, parmi les signataires de cette lettre ouverte! Pas un seul Québécois! Rien d'étonnant, quand on sait que, dans les officines universitaires du Québec, le réchauffisme anthropique est imposé comme étant la seule doctrine convenable et admissible! La seule, aussi, qui pompe le fric des subventions de recherche! À moins d'être retraité, comme le professeur Reynald Du Berger, géologue et sismologue, les scientifiques québécois doivent, donc, marcher au pas! Il y a bien des sceptiques, mais ils ne sortent pas du placard. Au Canada anglais, l'omerta climatique n'est pas aussi totalitaire qu'au Québec.

Enfin, il faudrait que les médias traditionnels (les radios, la TV et les journaux) cessent d'être engoncés dans la bigoterie climatique. Ce n'est pas croyable la quantité d'âneries qui y circulent, l'ignorance crasse qui y sévit et la place démesurée qu'y occupent les gourous écolos!


J'ajouterais qu'il serait plus que souhaitable que le GIEC soit démantelé. Ce machin onusien est tellement discrédité que peu de monde pleurerait sa disparition!


Vaste programme, me direz-vous? Sans doute! Mais, comme le Climategate a fait sauter les verrous de la chape de plomb idéologique qui pèse sur les sociétés occidentales, on peut, raisonnablement, espérer que ces dernières entreprennent de s'en libérer. Après tout, la geôle communiste dans laquelle tant de peuples ont été enfermés, pendant tant d'années, ayant été anéantie (à part quelques vestiges) et, à la surprise de bien du monde en Occident, pourquoi ne pourrions-nous pas empêcher le surgissement de la geôle verdoyante?



Jacques Brassard




Moi-aussi, je me réjouis de l’échec de Copenhague, car les conséquences de ce triste spectacle écolo auraient pu être beaucoup plus catastrophiques qu’elles ne l’ont été, en réalité! Bref, le pire a été évité!

Maintenant, les réchauffistes, lisez bien ce qui suit! De passage à
la Conférence de Copenhague, Hugo Chavez a profité de l’occasion pour s’adresser aux délégués qui étaient présents là-bas. Dans son allocution, il a déclaré que le capitalisme menait en enfer et, tout en s’appuyant sur des citations de Karl Marx et de Jésus, Chavez a conclu son discours en affirmant que seul le socialisme pouvait sauver le monde.

Quelle fut, donc, la
réaction des délégués qui sont venus écouter le discours de Chavez? Une ovation debout!


Quand une assemblée de réchauffistes ovationne le leader maximo d’une pétro-économie qui détient les plus importantes réserves mondiales de sable bitumineux, simplement parce qu’il a affirmé que le socialisme devrait remplacer le capitalisme, il ne fait plus de doute que le véritable enjeu de cette conférence n’était pas le réchauffement de la planète, mais bien la destruction du capitalisme.


Question quiz comme ça : pourquoi est-ce que les gau-gauchistes nous parlent toujours des méfaits des méchants sables bitumineux de l'Alberta, mais jamais de ceux des gentils sables bitumineux du Venezuela, hein? Même si, au Venezuela, la production pétrolière se fait sous la supervision de la PDVSA, une société d'État, l'exploitation intensive de cette ressource a des conséquences absolument catastrophiques sur l'environnement.

Pourtant, je n'ai jamais entendu la gau-gauche, qui est souvent très proche des causes environnementeuses, dénoncer l'industrie pétrolière du Venezuela. Le mercure socialiste serait-il moins polluant que le mercure capitaliste, par le plus grand des hasards?


Partons du principe que, peu importe nos efforts pour trouver des sources d'énergies alternatives, on aura encore besoin du pétrole, pendant encore quelques années, car la reprise économique vers la haute technologie devrait attendre encore un peu, pourquoi les environnementeurs n'exigent-ils pas le déplacement de l'industrie pétrochimique dans des pays où l'on crée moins de dégâts environnementaux qu'au Venezuela, hein? D'un point de vue pragmatique, il serait tout à fait logique d'exiger la délocalisation de l'industrie pétrolière du Venezuela vers le Canada.

À moins, bien sûr, que la cause défendue ici ne soit pas l'environnement mais, plutôt, comme on l’a vu avec l’ovation que Hugo Chavez a eu droit à Copenhague, le socialisme et l'anti-capitalisme. Ah, ah! Dans ce cas, il est tout à fait logique que la gau-gauche dénonce l'industrie canadienne, relativement propre, tout en gardant le silence sur toute la marde produite par l'industrie vénézuélienne. En passant, pour produire 1000$ de PIB, le Canada dégage 0,73 tonne de CO2. Pour la même production, le Venezuela dégage 1,04 tonne de CO2. La Corée du Nord, un autre paradis socialiste, fait osciller la balance à 4,61 tonnes de CO2, par tranche de 1000$ de PIB.



Maintenant, les réchauffistes, dites-moi, sans rire, que le traité que vous auriez voulu avoir à Copenhague était pour le bien de l’Humanité! Désolé, mais, moi, je ne vois pas le socialisme, et encore moins le communisme, comme étant des biens!